Les lésions d’endométriose pouvant être multiples et disséminées et les plaintes très diverses, il est primordial que le traitement soit adapté à chaque situation clinique.
C’est ainsi que l’on ne proposera pas le même traitement à une jeune fille, à une femme qui consulte pour infertilité, ou à une femme ne souhaitant plus d’enfant.
Il faut savoir que, étant donné que le développement de la maladie dépend du cycle menstruel de la femme, la grossesse et la ménopause sont 2 situations « naturelles » où les symptômes peuvent s’amender.
Bien que l’endométriose ne soit pas une pathologie maligne, une fois installée et sans traitement, elle continuera à évoluer, de nouvelles lésions se formant, aggravant progressivement les plaintes.
Pour contrôler la maladie et permettre un traitement le plus efficace et le moins invalidant possible, il faut que ce traitement soit précoce et accompagné de mesures préventives.
Les 3 grandes lignes de traitement sont : les médicaments « non hormonaux », les médicaments « hormonaux », et la chirurgie.
Des moyens naturels décrits plus loin permettent de limiter le risque de récidive.
